Menottes, Cordes, Les contraintes physiques par l’immobilisation
Parmi les jeux SM, les contraintes physiques sont certainement les pratiques les plus répandues à travers le monde. Découvrons ensemble tous les « outils » menottes, cordes, film, etc… qui vous permettrons d’assouvir vos fantasmes les plus pervers.
Les menottes
Après le collier de chien et la cravache , la paire de menottes est le troisième accessoire de base. C’est un moyen de réduire un bottom à l’état d’impuissance. Il est en quelque sorte votre prisonnier, même si cet état reste symbolique. En ville, je me sers d’authentiques menottes de pouces, celles de la police américaine. L’esclave qui m’accompagne les camoufle sous une paire de gants qu’il n’enfile pas. Il les tient avec nonchalance entre ses doigts, repliés sur le dos de sa main, portant mes emplettes sans trahir son handicap.
Dans la pratique
Faute de menottes, on attachera ensemble les deux mains du top avec un foulard croisé entre les paumes avant d’entourer les poignets et de faire un nœud. Pour les paranos, les menottes des panoplies de policier pour enfants ne comportent pas de clé. Un bottom aux mains liées est capable d’exécuter un éventail de tâches. Servir à boire, pianoter sur l’ordinateur, jouer au mikado ou cirer des chaussures donnent lieu à des situations cocasses, en prélude à des jeux sexuels.
Voici quelques précautions à respecter lorsqu’on utilise de vraies menottes:
- Elles se portent devant soi ou dans le dos, les paumes de main se faisant face.
- Leur verrouillage est indispensable sinon le métal risque de blesser les poignets.
- Ne les serrez pas plus que nécessaire.
- Assurez-vous qu’elles ne coincent pas la peau.
- Gardez la clé à portée de main.
Apprentis bagnards, choisissez une paire de menottes de chevilles qui laissent du mou entre les pieds. Une chaîne de vingt à trente centimètres facilite les déplacements dans un appartement tout en gênant la marche, ce qui est le but de l’opération. Jouer à la marelle avec des menottes de chevilles est un jeu divertissant. Évitez d’y jouer la nuit dans un appartement, sous peine de déranger les voisins. Si un bottom se déplace dans la rue, les menottes doivent être indépendantes l’une de l’autre, comme des bracelets portés aux chevilles. Soucieux de ne pas gêner le top qui marche à ses côtés, le bottom les dissimulera sous un pantalon ou dans une paire de bottes.
Les amateurs d’immobilisation s’équiperont de barres d’inox destinées à la présentation d’un bottom, debout, les jambes et les bras écartés. Équipées de goupillons d’ouverture rapide à chaque extrémité, la barre de contrainte idéale mesure 50 à 80 cm de long, pèse environ une livre et se démonte, ce qui facilite le transport. Des anneaux mobiles permettent d’y suspendre des menottes de chevilles ou de poignets, des cordes ou des sangles.
Dans la pratique
Avant de jouer, définissez ensemble les règles du jeu. Le temps d’immobilisation, pour éviter une crise de panique éventuelle, et la température de la pièce, en cas de nudité du bottom. Vulnérable, le sexe à l’air, ce dernier ne pourra plus serrer les jambes une fois la barre en place. Une demi-heure d’immobilisation suffit lorsque le bottom débute. La position est fatigante et génère des tensions. Gare aux courbatures! Passer l’après-midi les jambes et les bras écartés équivaut à un marathon.
Les cagoules et les bâillons
Parmi les contraintes physiques, certains masochistes préfèrent celles qui procurent une sensation d’enfermement. La cagoule avec ou sans ouvertures pour la bouche et les yeux , les bandeaux, le bâillon à boule ou à plug qui maintiennent la mâchoire ouverte et provoque une salivation intense, le bâillon gonflable grâce à une poire, le harnais de tête dont les lanières enserrent les joues et le crâne, la muselière, le collier de posture, sans oublier le masque à gaz: il y en a pour tous les goûts. Le bâillon équipé d’un plug qui pénètre au fond de la bouche peut s’avérer dangereux s’il est trop long, tout comme le ballon du bâillon gonflable s’il remplit toute la cavité buccale.
Dans la pratique
Tops, si votre partenaire en a envie, jouez avec un bandeau que vous lui poserez sur les yeux. Vous lui plaquerez un foulard ou un simple masque antipollution de cycliste urbain contre la bouche. Le bottom expérimentera alors une véritable privation sensorielle, et sera à votre merci. Complétez l’expérience en lui liant les mains, devant plutôt que dans le dos si vous envisagez de le bousculer sur le lit. N’utilisez jamais de sac de plastique pour enfermer la tête d’un bottom. Ce jeu a coûté la vie à un ministre anglais.
La cagoule peut aussi être un instrument de domination, qui dissimule et durcit le visage du top. La cagoule dite du « bourreau » comporte des trous pour la bouche, le nez et les yeux, et un laçage au-dessus de la nuque. Le must: la cagoule du catcheur, comme le Mexicain mythique, Santos, argentée ou bleu métallisé.
« A l’avenir, elle s’entraînerait à porter le bandeau toute seule, pour développer ses capacités, percevoir son environnement et rassembler des indices. Il lâcha sa main et s’écarta. Dans le silence qui suivit, elle comprit qu’il la testait. Il voulait voir si elle prendrait l’initiative. Elle attendit. Il tourna autour d’elle sans la toucher. Quand elle le sentit à sa portée, elle allongea le bras pour l’atteindre. Raté! Il s’approcha, l’enlaça tendrement et déposa un baiser sur ses lèvres. Une main caressait sa joue, l’autre était posée sur sa hanche. Elle jouit. Un simple contact avait suffi, tant son attente était insupportable. »
François Mopin, Le bandeau, éditions Blanche, 2005.
Le Wrapping
Le cuir attache, écarte et tend, mais n’isole pas hermétiquement comme le film de cuisine qui sert au wrapping. C’est un avant-goût du caisson sensoriel.
Dans la pratique
Enveloppez le corps de votre partenaire allongé par terre dans du film de cuisine, en commençant par les pieds, en épargnant la tête. Limitez la durée de l’enveloppement à une heure sous peine d’asphyxier la peau, et veillez sur votre bottom pendant ce temps.
Par transparence, vous verrez sa chair collée au plastique, comme s’il sortait du congélateur. Le tissu d’hivernage dans lequel on protège les jardinières des balcons laisse la peau respirer. A condition de ne pas comprimer le corps, vous pouvez laisser votre partenaire dans ce cocon pendant que vous allez au bureau.
Faute de tissu, des rouleaux de papier hygiénique momifieront un bottom, des bandelettes médicales le transformeront en blessé, le papier kraft ou les vieux journaux en paquet. Selon la matière que vous utilisez, construisez un scénario autour de l’intervention des premiers secours, et lorsque vous déballerez votre paquet, une histoire de résurrection de pharaon, de SDF sauvé par un passant, ou la réception d’un grand légume inconnu livré par le facteur.
« Elle perce la couche de cire puis la couche de film et elle entre ses doigts. Elle me perce à jour. Elle a retrouvé l’endroit où la fée Clochette se cachait. Elle fouille. Je me contorsionne comme un insecte. Je vois qu’elle sourit. Ses dents scintillantes sont devant moi. Elle est satisfaite. Elle s’enfonce très loin comme pour prendre en main son objet, s’habituer à son cadeau. Et ça me fait tellement plaisir que je ne veux pas qu’elle arrête d’avancer en moi. Elle a trouvé le passage secret et le montre aux autres. C’est le passage qui relie aux battements de mon cœur. D’autres doigts se mélangent aux siens mais je ne vois personne. Juste elle. »
Claire Menichi. « Ecrase-moi », In/soumises, La Musardine,2010
Le bondage
Un bondage consiste à entraver un bottom qui ne pourra pas se détacher seul. Ceux qui ne sont pas doués pour les nœuds opteront pour le cockring, un anneau de métal ou de cuir, qui se place à la base du sexe lorsque le bottom est un homme. Ligoter un corps entier avec de cordes douces requiert en effet quelques connaissances. Avant de vous lancer, étudiez les croquis et les explications d’un manuel comme Osez le bondage de Axterdam ou les Sortilèges du bondage japonais de Midori. Vous trouverez des modèles de nœuds dans un manuel des castors juniors: en plein point, le nœud de chaise, le nœud plat, la demi-clé et la tête d’alouette. Les Parisiens peuvent suivre un atelier de bondage comme celui qu’organise Maîtresse Léïa le samedi après-midi.
Dans la pratique
Si vous n’avez pas de cordes, utilisez des foulards noués entre eux, des draps déchirés, des lacets de chaussures ou du ruban. Si le bottom est un homme, un top débutant peut se contenter d’une ligature du pénis. On entoure d’abord la base de la verge, séparant les testicules, avant de nouer les extrémités du ruban ou du lacet. Attention au serrage: si le lien comprime les testicules et le pénis de sorte à donner l’impression que les organes jaillissent, le bondage peut s’avérer dangereux au bout de quelques minutes. Pas question de serrer, ni de laisser le lien en place durant d’autres jeux sexuels.
Le second niveau nécessite des cordes. Les sexshops spécialisés vendent un rouleau de 10 mètres qui suffit aux débutants. La figure la plus simple à réaliser s’appelle « le maillot ». Un soutien-gorge de cordes entoure le torse et met les seins ou les pectoraux en valeur. Le bikini du maillot, en réalité un slip de cordes, ne doit pas cisailler l’entrejambe.
Ligoter un bottom sur une chaise est un jeu sexuel: On lie ses bras et ses mains derrière le dossier, puis chaque cheville contre un pied de la chaise pour lui maintenir les jambes écartées, avant de lui faire subir les derniers outrages.
Lorsque vous aurez appris quelques nœuds et consulté un manuel de bondage, votre partenaire prendra par exemple la position de l’autruche, appelée « posture de l’enfant » chez les yogis, à genoux, assis sur ses talons, le front contre le sol, les bras relaxés vers l’arrière, aussi confortable que la position du fœtus appelée aussi « chien de fusil ». Une autre posture consiste à coucher le bottom à plat les bras au niveau des fesses. Rappelons quelques précautions de base:
- Évitez de trop serrer les cordes;
- D’en poser sur la gorge, aux aisselles, à l’aine, aux coudes et aux genoux;
- Bannir les dangereux nœuds coulants;
- Passez de préférence les cordes au niveau du torse, du gras des bras et des cuisses;
- Conservez des ciseaux ou un couteau à portée de main pour couper une corde au cas où la peau bleuirait.
Lorsqu’un bondage est bien maîtrisé, le sujet emprisonné par les cordes découvre un bien-être particulier s’il est installé dans une position confortable. Plongé dans un état hypnotique, il est sous la surveillance du top, qui admire son œuvre à loisir (une heure maximum!). La toile d’araignée est mentale et physique à la fois. Cet état de conscience proche de la méditation peut engendrer des rêves éveillés, voire des altérations de la conscience. Assis en tailleur le dos appuyé contre un lit, il est possible de passer une nuit entière attaché sous une surveillance de chaque instant, comme cela m’est arrivé. Immobilisée pendant huit heures durant entre les cordes d’une professionnelle du bondage, j’ai eu l’impression de vivre une autre existence, celle d’une danseuse en Inde à une époque reculée.
» Ils ne restent nus qu’un instant, ces hommes et ces femmes que j’attache. Je les habille à mesure que passent les cordes autour de leur corps. J’enroule les liens avec douceur, comme une caresse sur la peau qui souvent frissonne. D’un mouvement plus sec, je resserre soudain les liens, emprisonnant plus sévèrement la chair qui s’abandonne. Ils respirent fort sous la contrainte, transpirent d’être à ma merci, tremblent dans l’attente. Je les rassure par mes mais apposées, par ma présence. Ils semblent immobiles aux yeux des observateurs, mais je me réjouis de leur cœur qui bat la chamade, de leurs poils hérissés. Je suis du doigt la goutte qui perle du front, de la nuque jusqu’aux reins. Je jouis d’enfermer un corps et de permettre ainsi, tel un passeur, de faire s’envoler leur esprit, libre.
Ce n’est que maintenant qu’ils se donnent vraiment, entièrement, car à cet instant ils ont l’envie profonde, sincère, de s’abandonner entre mes mains. Ils m’ont prêté leur corps, ils me donnent désormais leur âme. Le bondage est une étoffe précieuse: il n’y a pas plus bel habit qu’une âme exaltée dans un corps magnifié. »
Maîtresse Léïa
Au Japon, le nawashi (artiste de la corde) attache d’abord le corps, puis une jambe à l’horizontale reliée à un crochet au plafond ou à une barre, et enfin l’autre jambe, avant de soulever la fille du sol grâce au treillis de cordes tissé autour d’elle. Les cordes de chanvre consacrées à cet art millénaire ont macéré plusieurs jours dans l’huile pour avoir la souplesse et la texture adéquates.
Jusqu’à ces dernières années, le bondage appelé shibari ou kinbaku était un art masculin. Aujourd’hui, des dominatrices spécialisées font des démonstrations dans quelques cabarets de Tokyo.
Un assistant en jupe traditionnelle tend successivement à l’artiste une vingtaine de cordes de trois à cinq mètres chacune. Debout dans une fosse qui permet de jouir d’une hauteur suffisante pour la hisser ensuite, une jeune fille joue le rôle du bottom. On choisit des filles souples et légères, jamais d’hommes occidentaux, jugés trop lourds et trop raides pour ce rituel. Défaire les liens requiert un laps de temps quasi égal à celui du bondage lui-même. Les marques de cordes sur la peau de la fille sont imperceptibles.
Si vous êtes bricoleur ou alpiniste et que votre salon est éclairé par un lustre, remplacez le luminaire par un crochet destiné à soutenir un palan de cordes. Vous enfermerez les pieds et les mains de votre marionnette dans des menottes de cuir, molletonnées sur leur face interne si le bottom est fragile. Des mousquetons permettent aux cordes de coulisser. Chaque menotte étant reliée à une corde, vous pourrez à loisir étirer les bras du pantin vers le plafond, ce qui lui donnera une sensation de vertige, et lui écarter les jambes grâce aux menottes de cheville. La marionnette se déplacera dans la pièce suivant vos directives, et se rendra utile si vous laissez du mou à ses liens: écosser des petits pois, cuisiner, servir à table, lécher des orteils ou faire une fellation. Comptez trente mètres de cordelettes d’alpiniste pour réaliser un tel encodage.
Dans la campagne, le ligotage contre un arbre est un jeu D/S qu’on improvise dans un coin tranquille. Ayez toujours quelques cordes douces dans le coffre de votre voiture ou de votre moto, ou le dans le panier de votre vélo.
La séquestration
Si la séquestration est un fantasme répandu chez les hommes, le passage à l’acte n’est pas simple. Les propriétaires de cages et de caissons ne courent pas les rues.
En ville, l’expérience se limite souvent à quelques heures passées dans un placard à balai ou au fond d’une armoire. Pour intensifier la sensation, entravez le bottom avant de l’enfermer. Menottes et liens de cuir ou de cordes, et si vous n’avez pas de matériel, un cintre en fil de fer qu’on aura tordu autour de ses poignets. Un bâillon à boule ou une boule de tennis évitera d’entendre ses plaintes. Encore faut-il penser à le délivrer! Il m’est arrivé d’oublier un avocat bâillonné jusqu’au petit matin, bouclé dans un cagibi. Il a eu peur de manquer une audience importante au tribunal à huit heures du matin, sans compter que sa robe se trouvait dans le coffre de sa voiture, garée sur un trottoir.
Scénario du cachot
- Sortez le bottom de son « cachot » pour un interrogatoire.
- Menacez-le.
- Livrez-vous à une fouille corporelle.
- Tirez-le de sa prison pour lui ordonner de se masturber devant vous.
- Simulez un viol avant de le boucler de nouveau dans sa geôle.
A la campagne, un vieux poulailler ou une niche à chien peuvent être aménagés en cage. Les amateurs de jeux morbides et de films de vampires préféreront le cercueil. Encore faut-il avoir des relations dans une entreprise de pompes funèbres! Le record de longévité à l’intérieur d’un cercueil est détenu par Geoff Smith surnommé « la taupe humaine ».
Il a passé cent quarante-deux jours dans un cercueil équipé d’une manche à air. Tops, aménagez des trous d’aération à la chignole, et ne clouez le couvercle sous aucun prétexte. Sac de couchage, sac-poubelle, draps de latex, tous les moyens sont bons pour ceux qui aiment être reclus dans un caisson sensoriel qui leur rappelle le ventre de leur mère, une bulle hors du temps et de la réalité. Cette coupure du monde extérieur provoque une désagrégation de la pensée qui ressemble à la méditation. Une bonne âme veillera sur vous, prête à intervenir en cas de panique.
Enveloppement, immobilisation et séquestration sont complémentaires dans les jeux de contraintes physiques. Ainsi un bottom peut-il être bâillonné, enveloppé de bandelettes et scotché aux montants du lit, au sommier ou au pliant à bagages d’une chambre d’hôtel pendant que le top ira prendre un verre au bar après avoir mis l’affichette NE PAS DERANGER sur la poignée de la porte.
« Vous m’avez installée dans la cage, la tête enserrée au travers de l’ouverture du haut. La corde habituellement utilisée pour la hisser était passée sous mon menton, me gênant pour respirer. J’étais accroupie assez inconfortablement. Les pinces que Vous avez fabriquées ont été posées sur mes lèvres. J’avais peur de la première décharge et Vous m’avez rabrouée. « Attention je vais mettre en marche prépare-toi! » »
Salomé, Soumise, éditions Blanche, 2002
Le face sitting
Le face sitting est une pratique sexuelle humiliante pour le bottom qui se trouve sous un top assis contre son visage et heureux d’y être en dépit de ses protestations: « Un face sitting! Oh non, pitié! » Au-delà du simple fantasme, c’est souvent un moyen de décupler l’orgasme, voire de le provoquer chez des hommes qui n’ont pas l’éjaculation facile.
Plongé dans les odeurs de sexe qui le transportent, il est obligé de lécher le sexe et l’anus offerts au-dessus de sa bouche. La voix péremptoire qui le guide lui semble lointaine: ses oreilles sont collées aux cuisses du top. L’asphyxie érotique liée à ce que les Anglo-saxons appellent aussi queening décuple ses sensations grâce à une montée d’adrénaline. Les extrémistes, en particulier les gays, adaptent un masque à gaz en vue d’une privation d’oxygène modulable grâce à un tuyau plus petit que celui d’origine. Ils conviennent d’un signal destiné à mettre instantanément fin à l’expérience: un clignement des paupières ou un haussement de sourcils qui signifie »stop ».
Dans la pratique
La femme s’assoit sur le visage de l’homme face ou dos à ses pieds, sur un lit ou par terre. Le face sitting n’est pas vraiment safe puisqu’il comprend le cunnilingus et la feuille de rose (lécher l’anus). Les partenaires sont en couple ou se connaissent bien. Pour magnifier le sentiment d’être sous contrôle, le top liera les mains et/ou les chevilles du bottom. Si ce dernier accueille un fessier voluptueux sur son visage, il plaquera une main contre la fesse du top. Le risque d’étouffement n’est pas négligeable. A la moindre perte de contact avec les doigts du soumis, le top devra s’éjecter.
A un degré moindre, on éprouve des sensations similaires sous les baleines d’un corset dont le top aura serré les lacets. Cette sensation de vertige exacerbe le sentiment d’être dominé.
Voici quelques exemples de scénario SM qui vous aideront dans votre recherche du plaisir. Peu d’accessoires sont nécessaires pour les jeux de soumissions et de dominations. Si une paire de menottes traine au fond de votre commode, vous savez quoi faire….
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